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Danse modale op. 19

Orchestre de chambre :
- 2 flûtes
- 2 hautbois
- 2 clarinettes en sib
- 2 bassons
- 2 cors en fa
- 2 trompettes en ut
- Percussion 1 : Timbales (23’’/26’’/29’’)
- Percussion 2 : Caisse claire
- Percussion 3 : Triangle, Cymbales frappées sur Grosse caisse
- Cordes (minimum 6.6.4.3.2)

La « Danse modale », anciennement appelée « Ostinato Gare Cornavin » en hommage à la frénésie des pendulaires se mettant en mouvement de manière inarrêtable quotidiennement, est née sous l’impulsion d’une directive imposée à une pièce écrite dans le cadre de la classe d’éléments de composition de Nicolas Bolens à la Haute Ecole de Musique de Genève en 2004. Originellement pour grand orchestre à cordes et important effectif de percussions, la présente version a été spécialement re-travaillée pour orchestre de chambre, avec deux percussionnistes supplémentaires au timbalier.
Se basant sur une monodie traditionnelle iranienne dans le mode éolien (directive imposée comme exercice), la construction propose une forme de canon de timbre, faisant penser à un concerto pour orchestre de chambre, où la mélodie subit à chaque passage une transformation modale en six étapes. Au sommet du premier grand crescendo, les modes I et VI sont désormais côte à côte, menant les citations thématiques à travers un processus d’augmentation sur une rythmique inexorable.

Année de composition: 2004

Durée (minutes):

5

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